Macron, le candidat du CAC40, de l’extrême-libéralisme, va prendre le pouvoir dans notre pays sans jamais avoir été élu auparavant et avec seulement 24% des suffrages exprimés au premier tour. Une élection dont la sincérité des résultats interroge tant les « irrégularités » ont été nombreuses. Mais le Conseil constitutionnel validera ces résultats comme il a interdit à la HATVP de contrôler l’honnêteté de la Déclaration de patrimoine de Macron (celle de 2017) quand l’association Anticor se montrait « dubitative ». Les médias se réjouissent de ce merveilleux coup du sort. Leur chouchou aura gagné sur tapis vert. Tous les « grands démocrates » nous expliquent, une fois de plus, qu’il faut massivement faire barrage à une extrême-droite qu’ils ont eux-mêmes fabriquée afin de se maintenir au pouvoir durant des décennies. Rassurons-nous, arithmétiquement parlant, Le Pen ne peut pas être élue. Les journalistes, dont l’indépendance n’est plus à démontrer, peuvent se rendormir pour cinq ans. Cependant personne ne peut nier que Macron n’est pas un grand démocrate. Il fait censurer tout ce qui le dérange. Et notamment ce #SansMoiLe7Mai qui a soudainement disparu des tendances France sur Twitter malgré plus de 80.000 messages. Voter, c’est décider. Décider de choisir ou de ne pas choisir. Je refuse de choisir entre un populisme xénophobe et un populisme ploutocrate. Les puissants ont acheté les médias, ils n’achèteront pas mon bulletin de vote. Pour ma part, ce sera #SansMoiLe7Mai