Le Macronisme (néolibéralisme) est, avant toute chose, un fascisme de classe. Tant que ce sont les pauvres qui sont humiliés, frappés, matraqués ou éborgnés, un pourri comme François Bayrou n’en aura jamais rien à cirer. Pour ces fachos-là, le pauvre n’est qu’une statistique. Par contre, dès qu’on touche, même symboliquement, à la caste, à un nanti, à un des leurs, les discours se font larmoyants : « Il faut sauver la République ! ». II faut sauver la République… que les pourris comme François Bayrou volent quotidiennement.

Mais François Bayrou a oublié un petit détail : La République, c’est le peuple. Et le peuple a décidé qu’il en avait ras-le-bol des pourris comme lui. Basta.